Informatique technique de gestion pour Syndicat des Eaux
Informatique technique de gestion pour Syndicat des Eaux
1 Pourquoi gérer en informatique
2 La gestion informatique technique
2.1 Métier de traditions : l'eau
2.2 Les points spécifiques à recenser
2.3 Les facilités de recherches
2.4 Les recherches pour de futurs travaux
2.5 Les requêtes des élus et les simulations
2.6 Les obligations légales de chiffres
2.6.1 Les Agences de l'eau
2.6.2 Le rapport annuel sur le prix et la qualité
2.6.3 La gestion des interventions réseau
2.6.4 Relations avec les DDASS
2.6.5 Relations avec les Trésoreries
2.6.6 Les assemblées générales
2.6.7 Le suivi médical du personnel : amiante, chiens, animaux
3 Les bases de données (relationnelles)
4 La codification
4.1 Définition des Caractères et règles Générales de rédaction
4.1.1 Les caractères
4.1.2 Les règles de rédaction
4.2 Les tables
4.3 La Table FICHTRAV (Fiches de travail)
4.3.1 La fiche de travail
4.3.2 Champ CODE
4.3.3 Champ DEMAND
4.3.4 Champ DATE
4.3.5 Champ DIVERS
4.3.6 Transfert d'informations vers la facturation
4.4 Les autres tables
4.4.1 Suivi des consommations des compteurs généraux
4.4.2 Le suivi des Analyses
4.4.3 Le suivi du renouvellement des branchements Plombs
4.4.4 La gestion des compteurs usagés
4.4.5 Suivi des DICT
4.4.6 La table des compteurs abonnés
4.4.7 Le suivi des Abonnés
4.4.8 Le suivi du personnel
4.4.9 D'autres tables
4.5 Le courrier
4.6 Les devis
4.7 Les Poteaux d'Incendie
4.8 La DAO
5 Conclusions sur cette informatique
6 ANNEXES
6.1 ANNEXE 1
6.2 ANNEXE 2
Si vous arrivez directement sur cette page par un moteur de recherche, vous pouvez avoir accès à la table des matières et à chaque article, en page d'accueil. L'accès se fait par l'un des deux liens en tête de colonne de droite ----->
PRÉAMBULE
Cet article est destiné en premier lieu aux petits Syndicats en Régie directe ou partielle, qui ont peu de moyens, mais pas aux grandes structures publiques déjà largement informatisées ni aux structures affermées (Elles sont assez "grandes" pour se gérer toutes seules, et ont des moyens importants associés avec des structures informatiques lourdes déjà en place depuis de nombreuses années).
Cet article aidera les responsables qui peuvent parfois en avoir besoin comme j'ai pu le constater.
Il aidera aussi les élus nouvellement promus à la fonction de Président ou responsable et qui jusque là n'avaient jamais touché au domaine de la gestion technique d'une structure eau potable.
L'humilité est de règle et il faut dire qu'il y a des solutions toutes faites qui sont opérationnelles sur l'instant, moyennant finances et une solide formation avec une pérennité qui dure ce qu'elle peut, tant que la Société fournisseuse existe…
Cependant ces solutions achetées très chères, n'ont pas toujours la stabilité financière pour perdurer et celui qui s'y engage n'est pas sûr de terminer dans la sérénité, surtout au moment de basculer sur un autre système. (C'est d'ailleurs tout le problème de ce qui doit durer et de ces logiciels qui ont toutes les importations voulues mais aucune exportation…=client prisonnier ?)
C'est pourquoi ma vision est de dire qu'il vaut mieux un peu moins de facilités qui se révèlent parfois comme des obstacles, et pouvoir évoluer comme on veut le plus longtemps possible.
L'idéal est (peut-être) d'avoir ses propres équipes de développement logiciel et intégrant les bases de données et la DAO, mais c'est un autre sujet. (La pérennité n'est pas pour autant garantie, car le personnel bouge ! )
Cet article doit donc être vu comme une plateforme de coût réduit, à adapter aux besoins de chacun, parfaitement opérationnelle et prête (exportations possibles) pour une éventuelle évolution vers un autre système (dédié ?). Cet article est aussi une collection de différents éléments techniques importants, qui intéresseront les pays en voie de développement, ainsi que les étudiants en GEMEAU, et toutes les personnes curieuses de ce que représente la gestion technique d'un Syndicat d'eau.
Ces éléments ont une importance toujours vérifiée dans la conduite d'une structure eau potable. Ceci représente une expérience de 10 années qui avait été remarquée par les différents services de l'État pour l'intérêt évident d'une telle gestion.
Lorsque j'ai pris la direction du Syndicat, il y avait l'informatique comptabilité et facturation sous DOS avec disques extractibles de 20 MO, une télégestion technique en cours de mise au point, qui n'a jamais réellement fonctionné avec sécurité, du traitement de texte et EXCEL, sous WINDOWS 3.11 avec des PC sous processeur 386 ! Pas de quoi fouetter un âne ! Et en tous cas, aucun historique technique informatisé.
Aucune passation de consignes non plus, alors il a fallu tout échafauder en solo et surtout très progressivement, car je ne connaissais pas vraiment le métier à l'origine !
Je ne parlerai pas dans cet article de la télégestion des installations, car c'est un sujet à part entière, qui ne peut pas s'improviser en laissant les entreprises décider à votre place de ce qui est bien, et qui est réellement spécifique d'une unité de distribution. L'échec cuisant de cette installation m'avait accompagné tout au long de ces 10 années, et mon dernier travail a consisté à établir le cahier des charges d'un nouveau système.
Il n'y a pas de miracle à ce niveau et les liaisons avec les autres informatiques seront souvent peu automatisées, mais seulement établies à la demande.
Homme de formation électronique et informatique, j'ai rapidement pris conscience de la nécessité de faire quelque chose au niveau gestion technique, tant la loi des nombres à plus de 3 chiffres est présente. (Pour illustrer la loi des nombres, la facturation représentait environ 18000 factures annuelles, quelques milliers d'interventions en tous genres et quelques millions de M³ d'eau).
Rien ne peut être réellement établi sans connaissance précise des problèmes et des relations. Il a donc été nécessaire de construire de façon très souple et progressive pour pouvoir modifier suivant les enseignements journaliers.
C'est le but de cet article, de présenter chaque élément et de donner les raisons qui ont conduit à son utilisation. (Nota : la majorité des images est clickable pour agrandissement)
1 Pourquoi gérer en informatique
Tout le monde sait que l'informatique est caractérisée par sa rapidité d'exécution, mais aussi par une certaine rigidité rédactionnelle. Ainsi si l'on devait rechercher PARIS avec PARIQ (erreur de frappe), une première demande pourrait répondre "non égal", ce qui est vrai.
Mais une deuxième requête sur PARI donnerait une égalité.
Cet exemple permettra de comprendre pourquoi la nécessité d'une simplicité et d'une souplesse s'est présentée dès le début.
Dans des anciens schémas, les collectivités locales ont toujours eu à récupérer quelques personnels peu expérimentés voire allergiques aux NTIC.
Il est évident qu'à ce stade, il faut gérer et surtout ne pas s'emballer sur la technique. Le personnel doit suivre, car c'est de lui que viendront les informations, et mieux vaut qu'elles soient fiables…
Il faut séparer dès maintenant la gestion technique de la gestion administrative, et c'est essentiellement de la partie gestion technique dont je vais parler.
Les personnels de bureaux sont relativement bien formés et souvent très autonomes sur la gestion publique qui est tout de même très spéciale mais surtout très compliquée et pointilleuse.
Les aides informatiques au niveau des devis sont aussi essentielles car pour une erreur sur un calcul de TVA, l'abonné vous "invite" au tribunal…! Eh oui ! Mais cela concerne EXCEL seulement.
Les aides informatique au niveau des présences et des permanences sont aussi des plus compliquées car il faut assurer les rotations suivant les différentes fêtes…etc.
On va déjà "lancer un pont" sur une grande définition, qui est la BASE DE DONNÉES (relationnelle), SGBDR (Système de Gestion de Base de Données Relationnelles que vous trouverez également en littérature technique)
Le grand principe est de n'avoir qu'une seule fois chaque élément (Une seule fois l'adresse, ou le nom, etc…) et de les lier les uns aux autres pour obtenir la totalité d'une information.
Ce n'est pourtant pas cette solution très précise que j'ai retenue, car la FACTURATION était un système de gestion publique totalement fermé et inaccessible, mais surtout d'un enjeu financier extrêmement important.
Pas question de "bidouiller" un tel système déjà assez compliqué de part la gestion publique.
La gestion des abonnés et des index de compteurs restera sur le système dédié. Quelques exportations ponctuelles et "délicates" pourront cependant être réalisées. Quelques enrichissements manuels seront issus des fiches de travail (voir ci-après)
2 La gestion informatique technique
2.1 Métier de traditions : l'eau
L'eau potable est un métier de traditions, et chacun garde jalousement ses petits secrets. Il est donc nécessaire de récupérer les informations de façon écrite (fiches de travail), et de les transcrire informatiquement après, ou de supprimer le papier, mais dans ce dernier cas, la fiabilité des informations va largement baisser, et on perd l'authenticité de la rédaction.
Autre élément militant à l'opposé de la solution "saisie directe à la source", est le métier lui-même avec la présence d'eau et de boue très souvent. A cet effet seul le papier et le crayon sont les meilleurs "instruments". Je suis d'accord du "zéro papier", mais techniquement c'est encore la solution la plus simple et fiable à un coût acceptable (hors matériel militaire ou étanche).
Une saisie différée dans les locaux sans aucun support, en retour d'intervention, est une source de perte d'informations, et je ne crois pas à cette solution. Il y a de plus rupture du lien visuel générateur des éléments à mentionner.
La connaissance du métier permet d'évaluer les feuilles de travaux réalisées et de poser les questions complémentaires éventuelles pour avoir la connaissance précise d'une situation.
En exemple, lors de travaux, un abonné qui se plaint de bruit de chauffe eau est à surveiller, aussi bien que la découverte de la faible profondeur d'un adducteur.
2.2 Les points spécifiques à recenser
• La date d'une intervention (et l'heure)
• Quels sont les personnels qui ont travaillé à une intervention.
• Le lieu ou les lieux
• Le type de travail effectué est la base même
• Les matériels mis en œuvre pour ces travaux s'il y en a
• Les moyens lourds éventuels
• Le nom de l'abonné si le travail relève d'un branchement
• La canalisation, diamètre et nature
• La coupure réseau éventuelle
• La prise d'échantillons d'eau
• Les purges
• La production et les ratios
• La gestion des compteurs généraux
• La gestion des compteurs d'abonnés
• Gestion des analyses légales et spécifiques avec suivi des valeurs
• Surveillance des taux de chlore
• Suivi des plans de récolement des travaux
• Gestion et suivi des DICT et DR
• Suivi des Poteaux d'incendie et de leurs performances.
• Gestion des nouveaux compteurs abonnés et destruction des anciens
• Gestion des contestations
• Récupération des index par Internet (non traité)
2.3 Les facilités de recherches
L'informatique devrait permettre de retrouver tous éléments sur un nom d'abonné, sur un type d'incident ou de déterminer quelle Commune a le plus de problèmes par exemple.
Cela permet en cas de demande, de retrouver des éléments complémentaires d'une intervention, même très longtemps après, pour telle commune, telle année, tel problème, tel abonné….
En résumé il s'agira toujours de recherches multi-critères.
Cela peut permettre d'établir des liens de cause à effet ou au contraire de s'en dégager.
Un autre point encore à signaler, est la difficulté à rechercher en archives des éléments manuscrits sans connaître au moins l'année de ces évènements. Les archives sont toujours gigantesques, et l'année est toujours un minimum en tant qu'unité de base de recherche.
Ceci peut se traduire en relativité en disant par exemple "cette autorisation a été donnée l'année où la commune X a été rattachée". Ainsi on peut obtenir le lien pour de telles informations de façon indirecte.
Il est évident aussi, qu'il n'est pas possible matériellement de saisir tout le passé d'un syndicat qui peut avoir une cinquantaine d'années. Ceci signifie que vous construisez cela pour la structure, partiellement pour vous-même et votre facilité de travail, mais surtout pour vos successeurs...
Vous n'en serez pas toujours remercié, mais c'est ainsi !
2.4 Les recherches pour de futurs travaux
Les problèmes multiples sur un même secteur (casses fréquentes par exemple) seront extraits directement des feuilles de travaux. (REPRES par exemple)
Ceci inclus aussi l'isolation des problèmes de fabrication de certains produits de grande diffusion (pour les branchements) tels que des by-pass, compteurs ou les raccords ou manchons défectueux pour PEHD).
De même, les réalisations nouvelles mentionneront les diamètres et longueurs. Même s'il s'agit d'entreprises extérieures. Celles-ci ou le personnel de surveillance devront remplir la feuille du procès verbal d'essais sous pression mentionnant le diamètre, la longueur et la valeur de pression d'essai (à préciser au CCTP).
Cette possibilité de recherche est extrêmement utile, car il s'avère que le ressenti des travaux à réaliser n'est pas toujours le reflet de la réalité. Une base réelle est toujours préférable à une "impression". Suite à ces recherches, un plan pluriannuel peut être élaboré en fonction des sommes consenties et de l'endettement accepté.
2.5 Les requêtes des élus et les simulations
Ceux-ci demandent parfois des éléments sur les problèmes de manques d'eau dans certains secteurs, et les plaintes de quelques "vieux ronchons" qui trouvent scandaleux de n'avoir pas pu prendre leur douche un seul matin en 10 ans. (Problèmes de pression en points hauts par exemple)
Dans ces demandes, tout est à examiner d'un point de vue des dates d'interventions etc…
Le prix de l'eau est toujours un sujet très sensible et il est toujours nécessaire de simuler les nouveaux tarifs pour savoir ce que l'on pourra réaliser comme travaux, ou au contraire adapter le prix de l'eau pour pouvoir réaliser des travaux urgents. (Dans ce cas il faudra reprendre les données issues de la facturation : -EXCEL-)
D'autres demandes sont également formulées concernant le nombre d'interventions, les casses, les fraudes…Ces éléments seront cette fois extraits de la base technique. Une fois l'extraction réalisée, les données pourront être mises sous forme de tableaux ou de graphiques par un TABLEUR.
2.6 Les obligations légales de chiffres
Livrer de l'eau potable ! Est le premier commandement. Rien n'est plus important, le reste finira toujours par trouver une solution, quelques soient les difficultés techniques ou administratives.
Ceci représente réellement une action de base qui peut être épaulée par les recherches en base de données.
"La chose" étant publique, doit cependant être justifiée par des chiffres qui sont la clé de voûte de la bonne destinée des sommes importantes perçues et dépensées.
2.6.1 Les Agences de l'eau
Gérer les productions facturées pour redonner les différentes taxes aux Agences de l'eau, certains produits de taxes transitaient à l'époque, par la DDAF (nouvelle DDEA).
Les résultats des consommations par Commune, avec les rectifications dues à des éventuelles erreurs ou à des remises est traitée sur EXCEL avec le calcul des ratios de production/facturation au global, mais aussi par commune, voire par ressource ou département si nécessaire.
Les valeurs des différents compteurs d'abonnés sont cumulées par communes pour chaque période de facturation, sur EXCEL qui est plus adapté aux calculs et à la recherche des fuites éventuelles.
Ces valeurs étaient reprises manuellement de Magnus pour l'établissement des ratios Annuels de consommation pour chaque Commune, mais aussi pour chaque entité de production et cela pour les périodes de facturation cumulées sur cette durée annuelle.
Les agences de l'eau ont également besoin des valeurs de production d'eau brute (prélèvement dans le milieu naturel) pour récupérer au passage quelques "deniers". Il faut donc comptabiliser parfaitement la production.
A cette fin les compteurs de production outre le suivi avec relevé hebdomadaire de surveillance, doivent être relevés et arrêtés pour l'année en cours au 31 Décembre.
Dans ces éléments, il y a lieu d'introduire les volumes dus parfois aux différents nettoyages (filtration, etc…) qui doivent aussi être comptabilisées.
Certaines entités comptabilisent aussi les incendies etc…Là c'est quelque chose de très subjectif et à apprécier par chacun, car en plus il faudrait comptabiliser les essais de poteaux d'incendie, ainsi qu'évaluer les vols d'eau sur ces mêmes poteaux…
2.6.2 Le rapport annuel sur le prix et la qualité
Ce document officiel est remis à toutes les communes adhérentes et aux différents délégués communaux. Il renseigne sur la bonne gestion, le prix de la facture type 120 M³, l'avancement des travaux en cours, les chiffres de production, les analyses, les coûts des réalisations et les problèmes en général.
Il témoigne également par le ratio technique de la bonne capacité à contenir les inévitables problèmes de fuites.
Ce document nécessite de nombreux éléments de volumes d'eau, financiers, portant sur l'exploitation avec les différents moyens, mais aussi sur les investissements. Il renseigne aussi sur le nombre total d'analyses et les éventuelles analyses mauvaises.
Ce document doit être présenté aux élus au cours d'une des assemblées annuelles. C'est un long travail d'assemblage de nombreux éléments, dont une bonne part provient des différentes bases de données.
2.6.3 La gestion des interventions réseau
Ce paragraphe représente la part la plus importante en termes de nombres d'éléments à saisir. Ceci est aussi le reflet de la bonne adaptation du nombre de personnes aux tâches d'entretien, de maintenance et de fonctionnement.
Tout incident réseau est un sujet de contamination de l'eau. Il y a donc lieu de surveiller particulièrement tout incident avec coupure de la distribution. Ceci est obtenu par l'exploitation des fiches de travaux sur des critères qui seront expliqués dans les paragraphes qui suivent.
Cette surveillance des incidents est du seul ressort du Syndicat. Il met en œuvre sur la base des problèmes rencontrés, d'une surveillance sanitaire par la vérification d'un taux de chlore correct voire des analyses particulières si nécessaire.
Les incidents sont principalement les coupures réseau pour des problèmes de fuites ne pouvant être résolu qu'avec coupure. L'introduction d'air dans les canalisation, associé aux mouvements d'eau provoque le décollement du bio film et l'introduction éventuelle d'éléments contaminants.
Cette gestion des incidents s'appuie sur les Fiches de Travail Syndicales, ou par les éléments d'analyses de l'organisme de contrôle (DDASS). Des cycles de désinfection ou de purge sont éventuellement lancés et répertoriés également sur des Fiches de Travail.
Cette méthode proche d'ISO9000 permet de connaître les problèmes, les localisations, dates (et heures). Elle donne "une certaine traçabilité". Elle permet aussi de part la structure réseau de comprendre les éventuelles incidences éloignées et consécutives et de lancer les corrections.
(Exemple : absence de chlore dans une commune suite à un tube de chlore vide. Création d'un dossier pour installation d'un inverseur automatique de tube de chlore.)
En l'attente, suivi des dates probables d'épuisement de bouteille et changement de tube AVANT la rupture de chloration.
(On remarquera que 80% des pompages se réalisant la nuit, les tubes de chlore lâchent donc à 80% la nuit !)
Tous ces éléments sont issus des feuilles de travaux, mais aussi des analyses effectuées et qui étaient renseignées dans un fichier des ANALYSES sur EXCEL (voir plus loin les problèmes de ce fichier initial et une nouvelle description sur ACCESS)
2.6.4 Relations avec les DDASS
LA DDASS est l'organisme de contrôle de tout ce qui touche à la santé de la population. La DDASS est un service dépendant de l'autorité préfectorale. Son regard sur l'eau potable est important. La DDASS contrôle la qualité de l'eau par des analyses dont le nombre est calculé annuellement en fonction de la taille du Syndicat.
Service préfectoral, elle a le pouvoir de mettre en demeure suite à de mauvais résultats. Son rôle devrait normalement se borner à de simples vérifications, mais il arrive toujours des impondérables, qui sont en général peu significatifs d'une production générale, mais témoignent souvent d'un secteur vétuste ou ayant eu quelques accidents réseau, voire parfois d'erreurs fondamentales de prélèvement. (Ça arrive aussi)
(Une analyse "bonne" l'est à coup sûr, alors qu'une analyse "mauvaise" est peut-être bonne ! Le doute existe).
Le fichier type de dialogue avec cet organisme est la table des analyses. (Réalisé à tort sur EXCEL et qui aurait dû être bâti sur ACCESS).
2.6.5 Relations avec les Trésoreries
Cette partie qui reste très pointue par sa rigueur numérique et procédurière, contrôle que tous les bordereaux sont corrects et que toutes les sommes individuelles cumulées correspondent au total. Le logiciel le plus courant est Magnus (désolé ce n'est pas de la Pub c'est une réalité)
Il n'est malheureusement pas possible d'extraire simplement les valeurs des compteurs relevés, avec une exception cependant (cas des relevés radio où on peut récupérer les index) Cependant une double gestion des index n'est absolument pas envisageable. (Des corrections ne pourraient pas être reprises au fil des jours et des modifications officielles).
L'exportation de données était quasiment absente de cette version. Cela a du changer depuis, je l'espère. C'est la raison principale qui détache cette partie informatique de facturation abonnés du reste de la gestion technique.
D'autre part, ainsi que déjà expliqué, toute erreur conduirait immanquablement la perception à refuser de mettre en recouvrement un rôle, avec toutes les conséquences financières qui peuvent aller jusqu'à la difficulté de payer les entreprises ou le personnel !
Ce fichier est si important que j'ai toujours préféré ne jamais y toucher, hormis avec la secrétaire chargée de l'exploiter pour les nécessaires mises à jour de versions logiciel, et aussi pour l'introduction et la connectivité des appareils de relevé radio. (Sauvegardes préalables hyper importantes !)
Une petite codification "maison", interne à ce logiciel (zone libre d'une vingtaine de caractères) permet de suivre quelques éléments techniques directement liés à la facturation. (Bagues de scellées, savoir si le compteur est à l'intérieur de la maison ou dans un regard, clapet, branchements plomb…)
Autre sujet avec la perception, le recouvrement des impayés est toujours signalé par le percepteur, et il appartient au distributeur de faire le nécessaire pour faire recouvrir les sommes. Le problème était que la comptabilité ne recevait que mensuellement les états comptables. Entre temps il était nécessaire de téléphoner pour savoir si un versement promis avait bien été réalisé.
Cela devrait normalement avoir changé, à ce jour car il devrait être possible de consulter ses comptes par Internet au niveau des perceptions. Ce point fait partie des améliorations importantes qui permettent de travailler en temps réel en Régie Directe sans être totalement aveugle des sommes qui transitent, mais je ne l'ai pas vécu.
Ce point peut être intéressant si vous surveillez les différents versements effectués sur les travaux programmés, et de voir à quel moment par exemple, vous devez souscrire un emprunt prévu au budget, ou au contraire savoir si une entreprise a bien été payée.
La surveillance financière des travaux annuels associée aux subventions est extrêmement compliquée et nécessite pas mal de repères informatisés qui peuvent tout à fait faire l'objet de tables dans ACCESS.
J'ai tenté à mes début de régler ce problème, mais le secrétariat se débrouillait finalement mieux, et je ne m'y suis plus penché, sauf pour quelques problèmes ponctuels à résoudre sur EXCEL.
2.6.6 Les assemblées générales
Lors des assemblées générales, le rapport sur le prix et la qualité de l'eau rassemble beaucoup d'éléments. Ce rapport pourtant complet n'est cependant pas suffisant et il est parfois nécessaire de renseigner les délégués sur des points techniques particuliers.
Ainsi avoir connaissance du nombre de poteaux d'incendie et des performances associées peut faire partie des questions posées.
Ce point est important car les maires sont responsables de la défense incendie et ont à cœur de ne pas être en défaut sur ce point précis.
De même des renseignements sur l'état d'avancement des travaux d'investissements ou des points particuliers sont souvent extraits des analyses et des feuilles de travaux.
2.6.7 Le suivi médical du personnel : amiante, chiens, animaux
Les absences du personnel intéressent aussi beaucoup les élus. Sur ce point, les secrétariats comptabilisent parfaitement avec leurs moyens habituels ces éléments. J'ai été obligé de m'en soucier à cause des RTT. Un programme sur EXCEL permet de gérer les absences diverses du personnel prenant en compte les RTT, les coefficients des heures supplémentaires, ainsi que les récupérations.
Les secrétaires, avec cet outil (un peu trop sophistiqué) sont autonomes sur ce sujet. Ce point reste cependant prévu dans la base, mais seulement en termes de présence/absence sans aucun calcul.
Il me semble pourtant utile de le renseigner pour les Assemblées générales et de partir avec un "portable" sous le bras, au lieu des volumineux dossiers habituels.
Un autre élément à prendre en compte est le nombre d'accidents du travail. Cela est également assuré par le secrétariat de façon traditionnelle.
Pourtant suite à des canalisations en Amiante (fibro-ciment, qui ne posent pas de problèmes particuliers en fonctionnement normal), il est nécessaire de savoir QUI intervient sur de telles canalisations.
En effet lors d'une intervention sur ces types de canalisations des dispositions spéciales sont à prendre. Les dates et les personnes ayant participé à une intervention avec découpage à la tronçonneuse doivent être renseignées par la médecine du travail. Il faut donc justifier de tous ces éléments qui seront repris par les médecins du travail.
Cette information se réalise naturellement par les feuilles de travaux et l'extraction de ces éléments sur ce critère. Vient ensuite le recensement des accidents dus au travail proprement dit (blessures corporelles, yeux…etc). A cela s'ajoute le recensement des accidents relatifs à des causes extérieures (morsures de chiens principalement lors des relevés de compteurs et accidents avec des animaux dangereux de la ferme).
Il est essentiel de bien conserver tous ces éléments, et cela peut également être mis dans la base des Fiches de Travail. (Voir les codes ci-après et les tableaux en Annexes)
3 Les bases de données (relationnelles)
Une base de donnée relationnelle, comme son nom l'indique, établit des relations entre différentes tables de données de façon, par exemple à ce que l'adresse d'un abonné ne soit présente qu'une seule fois. C'est le but premier d'une relation !
On a vu que la base "abonnés" est sur un logiciel séparé et que ces éléments ne sont pas obligatoirement "extractibles" simplement. De toutes façons, seule l'entité "facturation" peut tenir à jour de façon fiable ces informations (mais sur UN seul logiciel, celui de la facturation !).
Une base de données relationnelle telle que celle de la facturation n'est pas envisageable en gestion technique, et celle-ci ne pourra pas lui être associée de façon simple et durable, du moins dans le contexte technique jusqu'à début 2006.
De plus la rigueur administrative applicable dans un bureau ne peut pas l'être en extérieur dans l'eau et la boue. Les Fiches de Travail sont souvent maculées, et il faut comprendre les difficultés pour "remonter du trou" et garder les mains propres…
L'utilisation d'un système informatique complexe et embarqué n'est pas du domaine des personnes exclusivement manuelles. Elles ne le souhaitent pas, et préfèrent pour certaines, les valeurs sûres du crayon et du papier (je l'ai constaté également en relevé radio semi-automatique où le personnel se faisait parfois sa petite "récap" pour lui)
La base technique sera principalement le résultat des Fiches de Travail et ne sera pas mise en relation de façon normale ni habituelle avec la base facturation.
Je recommande la saisie des Fiches de Travail par le responsable lui-même, car il est ainsi au courant de tout se qui se passe, ce qui est une absolue nécessité dans le métier, et il peut ainsi corriger des points ou obtenir des compléments sur un élément qu'il aura jugé important.
En ce sens la valeur d'une saisie manuscrite vers des données informatisées nécessite parfois des interprétations que seul un responsable peut évaluer pour garder la justesse et l'importance de l'idée principale.
On constate ainsi que l'informatique est élaborée en éléments fiables à partir d'éléments globaux et seulement précisés par quelques points. L'ensemble est ainsi interprété de façon certaine avec questionnement direct ou au besoin par retour de la feuille pour compléments, (voire pour correction !).
On constate aussi des erreurs ou omissions dans la rédaction de ces fiches.
Enfin pour confirmer mes propos, la saisie par le responsable oblige à rédiger quelque chose de compréhensible et qui ne soit pas inutile, faux ou incomplet. Seule cette façon de faire autorise des éléments fiables en base. Un parcours visuel de l'activité pré-saisie ne peut que se solder par un échec sur la fiabilité des informations.
Le logiciel utilisé est essentiellement ACCESS (ou un équivalent comme OPEN OFFICE par exemple -et gratuit de plus-). La table créée avec les Fiches de Travail pourra être exploitée directement grâce aux facilités des requêtes. La version utilisée était ACCESS 2.0 mais les nouvelles versions devraient être plus complètes et permettre l'introduction plus facile d'éléments "médias", ou liens internes ou externes.
Lors d'une recherche spéciale, on pourra travailler en "relation" puisque la structure ACCESS le permet très facilement, ainsi que l'homogénéité des différents codes. Une requête particulière pourra donc très simplement être établie pour répondre à une interrogation particulière.
Il faut faire ici une parenthèse pour dire qu'une requête sera réalisée essentiellement sous forme graphique et que l'appel au langage SQL sera toujours absent.
La saisie sera faite directement en table SANS l'aide de formulaires qui ne présentent pas d'intérêt majeur du fait que seul le responsable saisi les informations.
Enfin, en dernier point, il est aussi possible de construire des tables attachées qui ont été créées par d'autres systèmes de bases de données anciens tels que DBASE III+ ou IV. Personnellement, j'ai travaillé ainsi au départ, car les sauvegardes de l'époque étaient assez laborieuses, et ne sauvegarder que le fichier de données était très intéressant du point de vue de la durée.
(Un dernier point, la reprise de la structure sous DBASE III+ après l'an 2000 est délicate, car il faut corriger manuellement la date dans le Header du fichier *.DBF…-Pour ceux qui ont le problème, j'ai réalisé un programme Turbo Pascal HDRDBASE pour y remédier. A demander).
Ce passage sous DBASE est obligatoire pour modifier la structure d'une table. Il est aussi possible de créer une requête de copie qui va créer une table ACCESS qui pourra, elle, être modifiée. Il serait même possible d'exporter sous DBASE (à essayer).
Le travail depuis ACCESS sur une structure DBASE attachée ne pose aucun problème particulier, hormis la modification éventuelle des champs de telles tables attachées, et la limitation de certaines opérations d'enrichissement de données.
Je considère l'attache des tables comme très sécurisante car le logiciel et les données sont ainsi parfaitement séparés ce qui est EXCELLENT. J'ai vu ACCESS et les problèmes internes à ce logiciel être difficilement résolus (Problèmes réseau entre serveurs et postes et Magnus par exemple)
Un mot encore en faveur des tables DBASE III+, celles-ci ont une structure connue et décrite dans les anciennes documentations (papier) alors qu'aujourd'hui, à moins d'être un développeur, vous ne possédez jamais le format interne d'ACCESS, et de plus il est vraisemblablement techniquement inaccessible, car trop complexe pour un profane.
4 La codification
La codification est une opération nécessaire pour pouvoir assurer des recherches fiables. La codification évite les moteurs de recherche et les incohérences dues à la mauvaise prise en compte du thème recherché.
La codification ne sera pas réalisée par des éléments numériques trop difficiles à mémoriser sans l'aide d'une "bible des codes", mais simplement par des CODES MNÉMOTECHNIQUES, dont seule l'intelligibilité est nécessaire.
Ainsi pour "Réparation Branchement", REPBRAN est suffisant alors que REPBRANCH n'est pas utile. Mais avant de codifier il faut définir les caractères utilisables…
4.1 Définition des Caractères et règles Générales de rédaction
Pour que tout le monde y trouve son compte, l'interlocuteur principal qu'est le percepteur est directement impacté par cet aspect, et est même demandeur d'une certaine homogénéité rédactionnelle qui facilite grandement ses "rapprochements".
Les règles ont donc été élaborées d'un commun accord, et elles seront appliquées dans tous les maillons informatiques du Syndicat, jusqu'à la Perception.
4.1.1 Les caractères
Les caractères utilisables sont ceux issus du jeu de caractères ASCII étendus de l'ex IBM PC et codés en 256 éléments sur 8 bits.
Dans ce jeu, il est impératif de ne pas utiliser les caractères de valeur inférieure à 32 (base 10). (Ces caractères sont principalement des codes de contrôle).
Pour la langue Française, il n'est pas souhaitable d'avoir "beaucoup" de lettres accentuées (éèêùàûôïî) car cela pose des problèmes à quelques logiciels Anglo-Américains.
Une recommandation incompatible avec quelques règles d'écriture ci après est d'éviter le plus possible les majuscules accentuées.
Les codes de tableaux (valeurs de 176(10) à 254(10) ne devraient jamais être utilisés). Éventuellement le code 255(10) peut être un faux espace avec représentation effective d'un espace, mais reconnaissance normale des logiciels comme un caractère différent d'espace.
Garder à l'arobase (@) sa fonction au niveau INTERNET, à l'astérisque (*) sa fonction "n'importe quel nombre de caractères" et au point d'interrogation (?) sa fonction de remplacement de 1 caractère.
4.1.2 Les règles de rédaction
On gardera les différentes habitudes héritées depuis les débuts de l'informatique, mais aussi avec une idée de rendre homogène toute la panoplie informatique.
Dans le sujet qui nous intéresse, les seules liaisons informatiques officielles et régulières d'un syndicat sont avec la Perception (On devrait dire Trésorerie parait-il !)
Toutes ces règles sont essentiellement basées sur du bon sens pour retrouver facilement des éléments.
Ces règles ont été approuvées par UNE Perception, mais toutes devraient être demandeuses car cela simplifie les recherches. L'officialisation serait beaucoup trop compliquée car elle devrait remonter dans les Ministères et demanderait au moins des années d'examen…!
Tout ce qui concerne des CODES devrait normalement être traité en MAJUSCULES (non accentuées) qui sont toujours plus lisibles que les minuscules. Tous les noms propres sont aussi en majuscules.
En ce qui concerne les informations auxiliaires, celles-ci peuvent suivant les cas être en minuscules accentuées ou non (zones de commentaires).
(Voir le tableau en ANNEXE 1)
4.2 Les tables
Une base de données est composée de TABLES. La plus importante est la table issue des Fiches de Travail des interventions du personnel technique (FICHTRAV). Étant la plus importante elle sera décrite à elle seule dans le paragraphe suivant.
Une indication cependant pour les Syndicats organisés en réseau (Ethernet ou WIFI), ACCESS permet le travail à plusieurs dans la même base de données et la même table. Seuls les articles en modification conjointe font l'objet d'un avertissement aux utilisateurs.
Cela implique que les parties administratives et techniques ont accès à cette base depuis leurs postes respectifs, dans la mesure où la base a été déclarée partageable.
(Une parenthèse pour rappeler que l'informatique nécessite des sauvegardes….)
L'organisation autour d'un serveur dédié au stockage des données et des programmes n'est pas obligatoirement la meilleure solution.
Dans cette vision réaliste, j'ai pu vérifier que le plus court chemin pour une information est toujours une bonne solution, car cela améliore les temps d'accès, et sécurise aussi d'avantage l'intégrité des informations par l'absence de "retry".
A ce jour, XP permet facilement une configuration en réseau et le partage des fichiers. La règle de l'utilisateur le plus important est à regarder de près pour l'implantation des données principalement.
Pour les programmes c'est peut-être plus simple à gérer s'ils sont sur un serveur.
4.3 La Table FICHTRAV (Fiches de travail)
Cette table de nom FICHTRAV est essentielle. Elle est la plus importante des tables. Vous pouvez consulter en Annexes différents éléments explicatifs. Cette table est composée de SEULEMENT 4 CHAMPS : Une règle essentielle est de réaliser une fiche de travail par jour, même si c'est la suite d'un travail précédemment engagé. (En l'absence de l'heure, on sait au moins les dates de début et de fin)
(L'absence d'initiales d'un agent sur au moins une fiche journalière indiquerait qu'il n'a rien fait ou qu'il était absent ou qu'il a oublié au moins une fiche !)
Cette table est très simple et évite à gérer des champs multiples presque toujours vides. Elle constitue un élément de gestion technique très important.
Le premier champ est celui des CODES, où ceux si sont rentrés accolés mais dans un ordre à respecter ainsi qu'avec une syntaxe. Ce champ comprend les Initiales des Agents, les codes de(s) commune(s), les Activités, puis éventuellement les matériels principaux mis en œuvre.
(Ce champ sera détaillé en § 4.3.2)
Le deuxième champ est le champ du DEMANDEUR (il y en a : zéro un ou 2 au maximum) qui peut être le contremaître ou le secrétariat (appel d'abonnés) Il est aussi tout accolé (avec slash de séparation) avec en tête le nom de l'abonné s'il existe, suivi d'une seule initiale de personnel secrétariat ou technique puis de la date de la demande. (ex: BURGOT/IF/23/12/2010 ou YU/23/12/2010)
Tout un chacun peut lancer une fiche de travail.
Le troisième champ est la DATE de l'intervention (début) Vous remarquerez que la date ne figure pas dans les tableaux explicatifs en annexe mais est bien dans la base, car c'est une donnée fondamentale.
En ce qui concerne l'heure, je ne l'avais pas traitée à l'origine, car l'intérêt immédiat était moins important. La date début et la date de fin (ou la durée) sont nécessairement perçues comme des options de "flicage" toujours redoutées des personnels et c'est aussi pour cela qu'il valait mieux rester un peu en retrait au début.
Je suggère cependant de garder le champ HEURE sous le coude et de débuter d'abord simplement par la date.
Le dernier champ DIVERS 4ème ou 5ème et dernier (suivant introduction de l'heure) renseigne sur tout un tas d'éléments non formatés et très variables. Avec TOUJOURS en tête le nom éventuel de l'abonné correctement orthographié (si le problème est chez un abonné).
On trouve aussi dans les cas litigieux d'intervention sur des branchements, le relevé de l'index du compteur sous la forme I=287, avec éventuellement les litres si nécessaire. La concession C=123456 et éventuellement le numéro de compteur directement, car il comporte des informations qui permettent de l'identifier en termes de marque, type et date (SPDE).
En ce qui concerne le Nom de l'abonné, il peut parfois y avoir divergence entre facturation et données techniques, car certains abonnés se font une gloire de faire respecter l'orthographe de leur nom à l'accent et au tiret près. Dans ce cas cela conduit à des différences qui seront rattrapées par des caractères génériques lors des recherches (le point d'interrogation remplace habituellement Un caractère, et l'utilisation de l'astérisque).
Il y a aussi des changements de locataires ou propriétaire dont l'indication peut provenir soit du côté facturation, soit du côté technique.
4.3.1 La fiche de travail
Voir un modèle recto/verso en Annexe 2. (télécharger imptravN.doc ) Cette fiche est remplie par le secrétariat si elle résulte d'un appel téléphonique, ou par tout employé du Syndicat. Il n'y a pas obligatoirement de demandeur, si c'est le contremaître ou un technicien qui a indiqué la tâche à réaliser, mais ce serait mieux tout de même de l'indiquer suivant les intiales.
Elle renseigne sur les personnels par leurs initiales, (nombre non restreint), sur la ou les communes (toutes les communes est également possible), sur les activités qui peuvent être multiples (plusieurs codes possibles) par exemple REPBRAN_ECHCOMPT qui se traduit par : Réparation branchement et changement du compteur.
Enfin par les matériels utilisés ou mis en œuvre (pour les plus importants)
Et pour l'élément le plus important, LA DATE qui devra être exacte (Attention aux étourdis) La nécessité d'exploiter DÈS LE SOIR MÊME ou LE LENDEMAIN les fiches de travail permet d'éviter les erreurs grossières de date, et de faire le point sur la journée précédente, juste avant la planification de la journée qui débute.
Un mot encore, concernant l'organisation du travail, celle-ci n'est réellement prévisible que le jour même, car le métier de l'eau ne fonctionne que dans les urgences et les priorités. On ne peut penser à certains travaux que SI il n'y a pas eu de "nouveautés" durant la nuit…
Au dos de la fiche de travail figure la description du travail, les pièces utilisées de façon précise et les heures, véhicules, prix etc... Cela n'est pas appliqué concernant les heures et les prix, mais l'est pour les autres points, nécessaires pour expliquer le problème initial et gérer les stocks de pièces de rechange pour toujours réapprovisionner.
(En effet le dimanche les magasins sont fermés, mais l'eau doit continuer de couler). D'autre part certaines pièces arrivent par camion car très lourdes (tuyaux, BAC, etc…).
Voir les différents tableaux en Annexe
La table FICHTRAV a la structure suivante:
CODE 50 Car (à augmenter à 64)
DEMAND 30 Car
DATE 10 Car
(HEURE) 8 Car
DIVERS 64 Car
La signification de ces différents champs est développée ci dessous.
4.3.2 Champ CODE
Ce champ est très important, car il conditionne très largement les différentes recherches qui peuvent être faites. La syntaxe est rigide mais extensible et décrite dans l'ORDRE suivant :
initiales des Personnels, commune, activité et matériel.
La syntaxe juste un peu rigide est en général corrigée lors de la saisie, car souvent un peu bâclée, mais mis à part cela les codes utilisés sont mnémotechniques et rarement confondus. On va tous les détailler pour s'imprégner des différents cas et comprendre les nécessités.
Les codes mnémoniques doivent bien "sonner" et être prononçables et les plus courts possibles.
(Le code "RPRBR" pour réparation Branchement est stupide !)
Le Personnel
On a vu que la liste de tous les personnels étant intervenus sur un chantier est essentielle. Cela sera indiqué par les initiales de chacun et limité à 3 caractères. Les synonymes seront complétés par une troisième lettre, voire par toute convention ne dépassant pas 3 caractères.
Le nombre de caractères n'est pas une question de taille de la base de données, mais de réalité de rédaction de la feuille de travail. Place limitée sur le papier et Temps de rédaction.
La saisie de la fiche nécessitera l'introduction de "/" de séparation pour chaque agent y compris le dernier de la liste. Cela permet de rechercher ce qu'a réalisé une personne particulière durant une période donnée. (Recherche sur JHK/ par exemple recherchera tous les travaux mentionnant Jacques Henri KELVIN )
Une table associée initiales/noms peut permettre de développer les initiales avec les noms réels pour des besoins de lecture par des élus par exemple. Dans ce cadre il y aura RELATION entre des champs.
Attention cependant, à cette table qui devrait avoir des dates de présence de JHK par exemple, car des initiales identiques peuvent se présenter tout au long de la vie d'un Syndicat. Les initiales identiques d'agents présents CONJOINTEMENT seront volontairement déformées en accord avec les agents.
(Le responsable de chantier est de préférence indiqué en tête des initiales)
Le code de commune
Chaque commune d'appartenance sera renseignée sur 3 caractères, mais il s'est avéré que suivant les zones de France un 4ème caractère ne serait pas de trop, surtout si le Syndicat est assis sur plusieurs départements, ce qui arrive souvent.
Là aussi, une table auxiliaire permettra de développer les noms complets si nécessaire, par RELATION.
Les codes de communes seront obligatoirement MNÉMONIQUES et non numériques (ne pas utiliser les numéros utilisés par les perceptions ou la préfecture par exemple, car les erreurs de transcriptions seraient très élevées.
Seul le mnémonique sur 3 ou 4 caractères est nécessaire et suffisant.
L'activité
L'activité est définie par un certain nombre de codes, tous mnémoniques et recensant les plus importantes. Tout ne peut pas être transcrit mais les rapprochements doivent inciter au choix.
Ces activités sont classées par grands thèmes :
Réseaux, Branchements, recherche des fuites, Entretien structures AEP, locaux espaces verts, Compteurs, Surveillance chantiers, DAO, Régulation process, Réparations diverses.
Il y a aussi les activités administratives qui sont prévues, mais qui n'ont jamais été traitées car trop multiples et aléatoires en temps effectué à cause des perturbations téléphoniques et des activités de renseignement des abonnés.
Suivant les structures, cela ne me semble pas une nécessité absolue, mais à chacun de peser la nécessité, les codes existent…!
Il y a aussi la gestion des activités diverses de réunion, informatique, formation maladie et absences.
Plusieurs activités peuvent être mises en série pour préciser. L'ordre peut indiquer la vocation première ex:
RECHFUIT_RELEV. La notion première est de rechercher les fuites (celles-ci ont été préalablement mises en évidence), alors que RELEV_RECHFUIT fait partie d'une opération normale de relevé de compteur mais de surveillance particulière car des consommations élevées ont été constatées (sans qu'il y ait conclusion de fuites).
Les matériels
Ces codes permettent de préciser aussi bien les moyens mis en oeuvre que les matériels utilisés. Ainsi REPRAN_TRACTO indique une réparation de branchement avec fouille effectuée au tractopelle. Les produits de réparation du branchement ne seront pas renseignés en terme de code de matériel, car très courants et de coût réduit.
(Certains matériels ne figureront qu'au dos de la fiche de travail et ne seront pas renseignés dans les codes. Ce ne sera pas le cas pour les bagues de scellées, ni pour les clapets qui devront, eux, toujours figurer)
Chaque matériel peut être suivi d'un complément ou d'un diamètre. Ainsi un matériel peut être "habillé" d'une référence numérique permettant de préciser le matériel ou élément. Exemple NETFILTR_BACHE_01 indique le nettoyage de la bâche N°1. Le numéro devra alors figurer physiquement sur le matériel. (Lien visuel)
L'utilisation des codes pour les moyens lourds est importante pour les suivis des réparations de chaussées et les PV existent aussi pour les collectivités publiques…
4.3.3 Champ DEMAND
Ce champ du demandeur renseigne en premier le Nom de l'abonné s'il s'agit d'un appel téléphonique pris par le secrétariat, suivi de / puis des initiales de la secrétaire ayant pris l'appel suivi de /, puis de la date d'appel.
Si c'est un agent, les initiales suivies de / sont suffisantes. La date n'est pas obligatoire. Ceci est simplement considéré comme un travail à réaliser. Si c'est urgent cela sera traité par l'examen des priorités. Dans le cas contraire, cette feuille servira de "pense bête" pour les contremaîtres ou chefs d'équipes.
4.3.4 Champ DATE
Date exprimée suivant les règles habituelles Jour/Mois/Année, avec année sur 4 chiffres qui permet de confirmer la représentation JJ/MM/AAAA et évite de recommencer la même bêtise tous les siècles comme au passage de l'an 2000 !
Pour ceux qui voudront ajouter l'Heure, il est préférable de séparer le champ HEURE de la DATE car l'essentiel des recherches porte sur la date, et l'heure n'est qu'un complément.
Si une édition complète de la date et de l'heure doit être réalisée, celle-ci sera générée sous forme d'un champ calculé (DATE+HEURE).
J'ajouterai que l'heure est tout de même utile pour lever les incertitudes sur les reproches d'heures d'arrivée du personnel lors de casses ou fuites, et que le flicage qui peut en être fait, intervient en deuxième position. Chacun fera ce qu'il pense être bien dans sa situation...
4.3.5 Champ DIVERS
Bien que le nom "DIVERS" prête à une certaine inconsistance et quelque liberté, ce n'est pas du tout le cas. La première information dans ce champ est le NOM DE L'ABONNÉ si il s'agit d'une intervention pour un particulier.
Autrement le reste du champ est en format libre mais précise simplement des particularités du premier champ. Des éléments tels que les index lors d'une intervention sont systématiquement relevé et indiqués sous la forme I=xxx, le numéro de concession C=zzz. Les numéros de compteurs éventuels sont simplement transcrits directement, car la confusion n'est guère possible avec d'autres éléments (règles des numéros issues du SPDE). On trouvera également le code de rangement des compteurs anciens remplacés.
4.3.6 Transfert d'informations vers la facturation
Les fiches de travail après avoir été saisies par le responsable technique, repassent à la facturation pour la saisie des créations de branchements et des éventuelles informations de facturation (changements de compteur par exemple). (Clic image pour agrandissement)
A cette fin, tout changement de compteur est accompagné d'un format A5 en double exemplaire (avec papier carbone) contre signé par l'abonné, dont un exemplaire lui est remis, et le 2ème exemplaire accompagne la fiche de travail pour saisie dans Magnus des éléments de facturation. (Téléchargement COMPTCHG.doc)
Cette méthode peut paraître un peu lourde, mais elle permet cependant de cerner très rapidement des éléments techniques d'index sans avoir recours à la base de facturation. Cette méthode évite aussi tous les embrouillaminis de litiges d'index de compteur lors des échanges.
D'un point de vue pratique il faut couper un imprimé A4 en deux et générer un interclassement des 2 modèles (exemplaire Syndicat et exemplaire abonné). Un petit carnet au format A5 peut ainsi être assemblé.
(Je pense que je ferai prochainement (-sur bricolsec- d'ici qq semaines, c'est fait ! suivre le lien ci-après) un article sur la fabrication très simple de LIVRES de travail en reliure collée, c'est très pratique et ça évite les classeurs qui prennent beaucoup de place)
4.4 Les autres tables
D'autres tables peuvent être utilisées et quelques codes peuvent être repris dans le système de facturation Magnus, dans une codification légèrement différente pour pouvoir s'intégrer (place très restreinte) et surtout être tenu à jour par la facturation. Cela a déjà été évoqué précédemment (INT/EXT, BAG/SBAG, Pb, CLA/SCLA) Pour compteur interne habitation ou externe, avec Bague de scellées ou sans, branchement plomb, Avec ou sans Clapet.
L'intérêt est que ces codes pourront être transmis au portable de relevé manuel. Pour la radio en relevé automatique, c'est peu intéressant, mais la secrétaire sait ainsi si il y a possibilité d'erreur de comptage due à l'absence de clapet par exemple. On remarquera que dans cette phase, c'est la partie technique qui enrichi la base facturation.
Malheureusement l'exploitation des ces éléments est particulièrement malaisée sur ce Système.
Les autres tables sur ACCESS s'intègrent sur les mêmes règles. En voici quelques unes.
4.4.1 Suivi des consommations des compteurs généraux
Les compteurs généraux sont souvent sur plusieurs communes et sont donc nommés par les abréviations de communes et une précision de lieu complémentaire si nécessaire (mnémonique). Ils étaient au nombre de 80 unités environ et beaucoup n'étaient pas encore raccordés à une télégestion faute de système adapté et d'absence d'énergie.
Ils ont donc été changés (pour ceux trop anciens pour être pourvus au minimum d'un capteur) et tous ont été équipés de têtes radio ou de radio déportées. Ils sont alors relevés par portable sans descendre de véhicule, sans risque d'accidents avec les lourds tampons.
Parfois des éléments de compteurs horaires et de nombre de démarrages de moteurs sont également envoyés par radio. Ces informations permettent de réaliser les maintenances nécessaires relativement aux nombres d'heures de fonctionnement.
Le relevé radio procure des éléments complémentaires qui sont notamment l'index dans le sens de comptage direct normal, mais aussi un index secondaire qui indique les valeurs en décomptage. (L'index mécanique représente la somme algébrique de ces deux valeurs)
Outre cet index secondaire il y a aussi l'état de la pile (en années restantes) du dispositif, si il y a fuite ou s'il y a EU fuite, si le compteur est en sous-débit ou sur-débit et une valeur "Force" (j'ai oublié cette signification et je n'ai plus de documents désolé !) ou si le compteur est bloqué !
Dans un premier temps, ces valeurs transitent sur EXCEL qui permet le tracé automatique des courbes de tendances très importantes dans la détection des fuites. Dans un deuxième temps ces valeurs sont stockées sur ACCESS pour l'historique.
Les valeurs anciennes sont supprimées au fur et à mesure dans EXCEL pour ne pas surcharger inutilement d'informations inutiles.
Les moyennes journalières d'indexes sont calculées par EXCEL mais seront stockées dans ACCESS. Ceci est très utile pour les recherches ultérieures, car bien qu'il soit possible de réintroduire une partie de la base ACCESS dans EXCEL, ce sont principalement ces moyennes qui seront recherchées. Il n'y aura donc pas à refaire des calculs de données.
La table CPT_GNX est de forme native ACCESS. Elle est constituée ainsi :
NOM 25 Car
DATE 10 Car
HEURE 8 Car
INDX réel double (Marche avant)
M3/J réel double
INDXS réel double (Marche arrière)
M3/JS réel double
FORCE 1 Car
PILE réel double (en nombre d'années restantes)
FUIT 1 Car
UFUIT 1 Car
BLOQ 1 Car
SUR_DEB 1 Car
SOUS_DEB 1 Car
OBS 32 Car Observations sur portable AVEC en plus sur EXCEL
4.4.2 Le suivi des Analyses
Ce suivi des ANALYSES n'avait pas été fait sur ACCESS mais sur EXCEL. C'était une erreur, car le tableau était rentré horizontalement et suivant les périodes d'analyses, mal adapté pour pouvoir être étendu sans nécessité de déplacer les informations précédentes ! La colonne d'un même produit, pouvait se trouver décalée suivant les dates…(à cause de nouveaux types d'analyses et sans possibilités de remettre en ordre de façon simple).
Il est donc nécessaire de reprendre cette gestion sur ACCESS qui est parfaitement adapté aux évolutions et permet des recherches beaucoup plus simples, les déplacements de colonnes et éventuellement de les lier avec les interventions réseau. Il est évident que le tracé de courbes est beaucoup plus aisé sur EXCEL et qu'une simple copie permet de contourner ce petit problème de courbes.
L'ordre des premiers champs pourrait être constitué d'une partie générale, puis de la partie bactériologie (type analyse B2). A cela s'ajouteraient les analyses bactériologiques poussées avec recherche des staphylocoques dorés ou autres éléments moins fréquents, puis de la partie des polluants chimiques, avec en premier lieu la radioactivité.
L'ensemble sera ensuite constitué des polluants traditionnels types HAP et COV et pesticides suivis de toutes les matières chimiques recherchées.
NOTA : Un syndicat fait également des analyses de contrôle outre celles de la DDASS. Ces analyses doivent être "mélangées" avec celles de la DDASS, mais la distinction sera faite au champ TYP_ANAL avec "SYND"
Table ANALYSES
Partie générale
COMMUNE 3 à 5 car
LIEU DIT 15 car
ADRES1 25 car
ADRES2 25 car
ABONNE 25 car
DATE date
HEURE heure
TYPE_ANAL 5 car (extensions possibles DDASS)
RESULTAT 2 car (Bon, Mauvais, Limite, à Surveiller, etc à conclure )
Partie caractérisation physique
ODEUR 15 car
GOUT 15 car
COT Num Carbone Organique Total
DURETE Num Dureté °F
TURBID Num Turbidité
PH Num Ph
TEMP Num Température
etc...
Partie bactériologique
COLI Num
ESCHERI Num
22° Num
37° Num
SULFITO Num
ENTERO Num
STAPHY Num
etc…
Partie physico-chimique
RADIOACT Num
FER Num
MANGA Num
SULFAT Num
SULFIT Num
HAP (tous) Num
COV (tous) Num
etc...
COMMENT 40 car (explications des éventuels problèmes)
A noter l'absolue nécessité de l'heure de prélèvement (Ceci confirme la nécessité de séparer l'heure de la date).
Enfin comme il y a plus de 200 paramètres, il y aura aussi plus de 200 champs. Il ne sera pas question de tout regrouper dans un seul champ, car la lisibilité directe et la recherche seraient trop affectées.
En effet il faudrait codifier à chaque fois le type d'analyse sous une forme telle que Tetrachlo=. Alors que là, cette pseudo-codification sera faite seulement une seule fois pour les titres de champs.
Les unités ainsi que les valeurs limites devraient être indiquées à priori dans une table annexe liée par le Nom de champ du produit, qui contiendrait outre le nom complet du produit, ses unités les plus habituelles ainsi que les limites (ce qui éviterait de toutjours rechercher ces valeurs).
Des possibilités de saisie dans une requête existent et permettraient d'avoir sous les yeux les dénominations précises et les limites.
Des indications de cumuls de plusieurs éléments pourraient être réalisées par des liens avec les produits en cause et pourraient peut-être être calculées automatiquement ?
Petite ombre au tableau, les unités d'analyses saisies devront être confrontées aux unités les plus courantes définies en table, mais surtout aux multiples et sous-multiples, car mg et µg se cotoîent assez facilement...
4.4.3 Le suivi du renouvellement des branchements Plombs
La loi oblige à des taux de plomb qui ne peuvent être obtenus que par la suppression ou la modification des branchements en plomb. Généralement ceux-ci sont (ou doivent) être recensés et inclus dans un plan de travaux.
Cette information est répétée dans le fichier de recensement de ceux-ci.
La structure de la table BTPLOMB.DBF en est la suivante :
COD 2 car
CONCESSION 8 car
NOM 25 car
PRENOM 25 car
ADRL1 50 car
ADRL2 50 car
DATE_CONSTAT Date
OBS 50 car
Le COD contiendra "PB" pour signaler un branchement existant en Plomb, et "P-" pour indiquer que ce branchement a fait l'objet d'une récente réfection. Dans ce dernier cas, ceci implique qu'une fiche de travail existe et que la date de remplacement se trouve dans la fiche (il n'est pas nécessaire de la répéter).
Cette distinction est utile pour mesurer l'effort de rectification de ces branchements qui ne manquera pas d'être demandé lors des assemblées officielles.
Le numéro de concession est un élément important d'identification d'un branchement, et il est composé de 3 (voire 4) caractères de la commune en tête, suivi d'un numéro d'identification. Il n'est donc pas nécessaire d'indiquer la commune, puisqu'elle est intégrée au numéro de concession.
Les autres zones adresses sont dues à l'absence de relation entre le système technique et facturation. On notera aussi quelques fois des longueurs de zones différentes dans les adresses.
A ce sujet, ACCESS devrait normalement savoir gérer la place perdue sur les zones non remplies. En revanche il est certain que DBASE III+ ne sait pas le faire, et que la place est prise et réellement indisponible.
En résumé, il y aurait intérêt à rendre homogène les longueurs des zones adresses et de les définir en taille une bonne fois pour toutes, puisqu'il n'est pas possible de les lier à la base facturation.
4.4.4 La gestion des compteurs usagés
La gestion des compteurs est essentiellement assurée par la facturation sur la base des fiches de changement de compteur et de la fiche de travail correspondante.
Cependant malgré la fiche de changement normalement signée, en cas d'absence des abonnés, il arrive des contestations d'index et un stockage de 3 mois des compteurs démontés est assuré pour preuve. Cet élément est indiqué sur la fiche de changement. (En cas d'absence l'exemplaire abonné est laissé en boîte aux lettres)
Ce rangement est indiqué sous la forme C3N4AV7 (FICHTRAV zone commentaire) due au rangement, avec pour C3, un numéro "Casier", pour N4, le numéro du Niveau (étagère de 1 à 5), et AV7 ou AR7 indique l'AVant ou l'ARrière de l'étagère suivi de sa position longitudinale de 1 à 7 dans cette disposition.
C'est bien compliqué mais souvent utile !
La gestion de ce système a souvent été laissée à l'abandon, avec un rangement plus simple par mois de stockage, mais cela multiplie un peu l'espace nécessaire…Cependant la codification du rangement figure toujours en zone "DIVERS" de FICHTRAV et la simple recherche sur le nom d'abonné permet ainsi d'aller récupérer le compteur pour vérification.
4.4.5 Suivi des DICT
Les DICT (Déclaration Intention de Commencement de Travaux) représentent un enjeu très important pour les problèmes qui découlent de la protection des réseaux. Les responsabilités sont alors en cause et donc les éventuelles facturations correspondantes…(Lors des casses de réseaux voisins)
Cette table DICT, est constituée ainsi :
ENTITE_DEMAND 25 car
ENTREPRISE 25 car
N°DICT 15 car
COM 5 car
RUE 50 car
DAT_DICT date
DAT_RECEPT date
DAT_DEBUTVX date
DAT_REPON date
REF_COUR 25 car
MOTIF 50 car
CODE 10 car
DIVERS 50 car
Cette table apparue plus tardivement n'ayant pas le volume des interventions a été construite directement sous ACCESS (mode natif) sans passer par DBASE.
A remarquer la possibilité de lien sur la référence d'un courrier officiel. Le champ commune (COM) a 5 caractères est prévu pour une extension, mais seulement 3 sont utilisés pour rester homogène.
Tous les autres champs concourent à la procédure et à son respect. A noter que les DICT émises ou reçues sont traitées de la même manière.
En effet une structure Syndicale émet aussi des DICT pour ses travaux non urgents et planifiables. (Les urgences sont traitées par téléphone et accords spécifiques, mais très souvent des DICT de régularisation sont demandées).
Remarquer que l'entité demandeuse n'est pas nécessairement une entreprise, et que théoriquement seuls les concessionnaires de réseaux ont le droit d'intervenir sur le domaine public, puisque leur responsabilité est engagée.
La simple recherche sur les dates permet de rassembler les DICT encore actives, non débutées ou périmées.
4.4.6 La table des compteurs abonnés
NO_COMPT Cette table est la transposition du grand livre des compteurs installés.
Les nouveaux compteurs dont les numéros de fabrication ont été développés automatiquement en glisser/déplacer sous EXCEL sont enregistrés dans cette table par le secrétariat et la fiche de pose ou d'échange compteur permet alors de compléter les différentes zones.
Un double emploi existe cependant avec Magnus au niveau des marques. Le Modèle n'a pas été précisé et c'est un peu dommage car il peut être généré automatiquement par EXCEL…
Dans cette table figure un numéro de compteur (qui fait partiellement doublon avec la facturation), mais historiquement nécessaire de conserver, et elle permet avec certitude de rechercher un compteur particulier et certifie un compteur du Syndicat lors de la réception physique des compteurs.
(Des croisements de compteurs d'un distributeur à un autre sont possibles, ainsi que des compteurs achetés séparément suite à des fuites par exemple…)
Les informations sont les suivantes :
Table NO_COMPT.DBF
NO_CMPT Num Numéro continu croissant (Syndicat)
FABRIC 6 car Nom du Fabricant
NO_FAB 15 car Numéro fabrication suivant règles (1)
DIAM Num Diamètre
DAT_POSE date Date de la 1ère pose
CONCESS 7 car Numéro de concession (contrat abonnement)
VILLE 24 car Commune (ou abréviation)
OLD_INDX Num Index de dépose du précédent compteur
OLD_NO_FAB 15 car Numéro de l'ancien compteur
TYPBRAN 5 car Type branchement (3)
CODE 3 car NOuVeau, BLOqué, (4)
DIVERS 50 car Nom 1er propriétaire/locataire (2)
(1) Le numéro de fabrication d'un compteur comporte des indications d'année de fabrication, de diamètre, de marque et de type (Numérotation SPDE).
(2) Les contrats d'abonnement ne sont donnés dans le cas présent qu'aux propriétaires, mais cela reste délicat légalement, mais beaucoup plus sûr au niveau recouvrement. (Voir individualisation du comptage)
(3) Non utilisé pour l'instant. ville, pâtures, industriel etc
(4) NOuVeau, BLOqué, durée VIE atteinte, en FUIte etc
4.4.7 Le suivi des Abonnés
Ce suivi est réalisé sur la base du nom patronymique (en Majuscules) et suivant les recherches, des liens peuvent être établis. Ceci sans préjuger du système de facturation.
Des "ajustements", j'oserais dire des corrections sont toujours nécessaires pour se rapprocher de la base de facturation.
A ce sujet, une parenthèse importante est que la base facturation soit exempte de fautes d'orthographe dans les noms, car c'est à partir de cette base que les factures sont libellées, et outre un nom incorrect qui pourrait présenter des difficultés de recouvrement sur la base d'une mauvaise foi évidente, les abonnés tiennent très souvent à leur identité et à l'exactitude de l'orthographe de leur nom.
Cette base facturation devra être corrigée même s'il n'y a pas de reproches. Cette base servira toujours de référence orthographique pour les autres tables si nécessaire.
4.4.8 Le suivi du personnel
Celui-ci peut être réalisé sur la base des fiches de travail, mais ne seront renseignées ici que les informations nécessaires en communication aux élus (absences, amiante, accidents, formation). La gestion du personnel étant toujours réalisée par le secrétariat avec des moyens traditionnels pour une quinzaine de personnes.
A noter la planification des permanences à réaliser sur EXCEL mais heureusement une fois par année et qui est réellement un super casse tête.
On notera également la difficulté du calcul des jours de RTT sous EXCEL (usine à gaz) compte tenu des heures supplémentaires et de leurs récupérations suivant les protocoles d'accords intervenus.
Merci Martine !
4.4.9 D'autres tables
Un nombre important d'autres tables existent et présentent des intérêts plus ou moins marqués. Parmi celles-ci on peut citer l'AGENDA des rendez-vous toujours avec les initiales pour faire le lien et d'autres codes. Cette table est une sorte de mémoire des travaux à faire avec une date début et une date de fin, les instigateurs de ces actions, les motifs etc…Elle fait un peu double emploi avec la fiche de travail.
Elle m'a surtout servi de pense bête personnel des éléments à ne pas oublier.
BT_ATTENTE qui recense les branchements en attente (durant une construction) qui sont éventuellement en eau mais sans compteur. Ce point était en voie d'abandon à mon départ car sujet à litiges suite aux problèmes de gaspillages et de non responsabilisation des futurs abonnés. Il était en effet apparu que les remplissages des piscines et l'arrosage des jardins voisins étaient monnaie courante…
INVENTAIRE Cette base concerne les nouvelles directives obligatoires d'inventaire des collectivités locales, avec pour commencer l'inventaire technique sur cette base, qui sera cependant repris sur Magnus qui possède la comptabilité globale. (C'est donc une base transitoire)
NO_RAD, table qui assure le recensement des têtes radios à poser sur les compteurs. C'est l'équivalent du grand livre des compteurs adapté aux têtes radio.
Beaucoup de ces dernières tables ne sont remplies que par le secrétariat et constituent des aides très appréciables.
4.5 Le courrier
La table COURRIER est une table très importante qui fait partie intégrante du système technique. Il n'y avait rien à l'origine, à part les grands livres manuscrits. Cela est un incommensurable gain de temps surtout pour les recherches.
La base COURRIER.DBF est constituée ainsi en termes de champs et nombre de caractères.
REFERENCE 15 car Référence initiales/Année+nombre
SENS 1 car Emiss Recep
TYPE 1 car Courrier Fax (Internet)
DATE date d'émission ou réception
SOC 25 car provenance
RESP1 20 car Auteur
PRIX Num Frais de timbres
CLASS 3 car Zone de classement
DIVERS 80 car Titre et Courte Synthèse
Avec pour le sens E ou R Émission ou Réception. Le Type précise le support utilisé soit C pour courrier et F pour Fax.
Internet n'avait pas été prévu à l'origine, mais cela est possible d'intégrer un I…Ce qui ne va plus dans ce dernier cas, est qu'il y a déjà une structure de gestion en place…Je ne vais pas donner de recette non essayée, mais cela devrait pouvoir se traiter soit en regroupement avec des liens (si le dernier ACCESS le permet ?) ou de façon plus simple en copier coller. A vous de voir !
Pour ne pas trop ralentir les recherches, il sera peut-être nécessaire de stocker les années inactives groupées par plusieurs années dans une table auxiliaire COUROLDx.DBF. C'est un peu contraignant, mais c'est le prix de la rapidité, d'autant que les recherches restent simples tout de même et nécessitent seulement un changement de table. Ce sont les nouvelles archives !
Encore que 5 ou 10 années ne sont pas trop dramatiques et que l'on recule très vite dans le temps lors d'une recherche ne dépassant pas 20 ans.
(Lors d'une telle opération de réduction de taille de la base, prendre soin de garder au moins l'année précédente dans son intégralité)
A noter la référence exprimée en INITIALES sous la forme : Président/ordonnateur du document/rédactrice/Année (2 car) et numéro dans l'année (4 car).
On remarquera le lien sur les initiales toujours possible, ainsi que sur les dates avec la table FICHTRAV.
4.6 Les devis
Les devis sont réalisés sur EXCEL à partir d'une table des prix de chaque élément réseau ou branchement. Les calculs de TVA à l'origine sur des bases à 5.5% ET 19.6% compliquent un peu l'affaire.
Ce fichier de base sur EXCEL est d'une réelle utilité car les devis sont toujours des sujets brûlants tant les coûts sont élevés et les futurs abonnés toujours prêts à défendre leurs deniers face à un service public (qui est pourtant le seul service public à fournir une réelle prestation utile tous les jours de l'année et pour un coût raisonnable le plus souvent).
Ce programme de DEVIS/MEMOIRE sur EXCEL reste d'utilisation très spécifique et toujours un peu délicat sans aucune indication, et je préfère ne pas le diffuser d'autant que sans les prix il perd de son intérêt. Le principe est simple et reste du travail sur tables indexée dans une feuille complémentaire.
A noter que la mise aux prix réels et non l'application de coefficients relatifs aux longueurs droites (Cas des coudes par exemple) est abandonnée. Il suffira donc de ramener les coefficients à 1 et d'indiquer le prix réel d'un élément.
Chaque prix porte avec lui sa propre TVA le plus souvent à 19.6%, mais les produits syndicaux sont à 5.5%. Les devis peuvent aller jusqu'à deux pages maximum. Chaque exemplaire comporte le titre exécutoire légal.
Des macros permettent également de sortir les imprimés avec la mention "Syndicat, Abonné ou Perception". Vous noterez que cette version est encore en Francs mais avec déjà l'indication en Euros. La table des matériels est au maximum de 500 éléments, ce qui est déjà important pour les devis habituels.
Ce programme fait également office de Devis-mémoire (prix ferme et non révisable qui sera réclamé à l'issue des travaux) ou de Mémoire (facture).
Le service public n'a pas le droit de facturer par avance, mais toujours au service effectué.
Toutes les informations à saisir sont groupées en tête et doivent être renseignées correctement pour obtenir des exemplaires conformes. Les éléments techniques avec le nombre utilisé sont dans les deux colonnes de gauche de la feuille de calcul. Les autres colonnes sont des résultats intermédiaires.
Vous noterez aussi une indication importante de la révision du programme EXCEL, mais aussi et surtout de la table TBL qui contient les prix de chaque article (en fourniture et pose)
4.7 Les Poteaux d'Incendie (PI)
Les élus, souvent Maires de Communes ont compris l'importance de la défense incendie, car cela représente une de leurs obligations de base. Aussi les performances des PI sont-elles à regarder de très près. (Les assurances peuvent se retourner vers les Communes lorsqu'il s'avère que les débits sont insuffisants).
Une deuxième information concernant les poteaux d'incendie est que ceux-ci témoignent de la capacité d'un réseau à fournir les débits. Ces performances sont donc aussi très importantes également pour un Syndicat.
Les modifications de celles-ci peuvent provenir de modifications des réseaux ou d'éléments en panne, voire d'autres problèmes plus complexes ou inattendus.
La structure de la table des PI renseigne donc sur les performances au fil du temps et donc au moins à la dernière vérification annuelle obligatoire.
La structure POTNEW3.DBF est assez longue. Elle est la suivante :
CHAMP NOM Dim Type Dec Divers
1 COMMUNE 24 Car
2 NUMERO 4 Num Int
3 MARQUE 15 Car
4 TYPE 15 Car
5 CHOC 1 Car Modèle "Choc"
6 LONG 1 Car Modèle "Long"
7 COFFRE 3 Car Coffre O/N/RES/SAN
8 NUM_INDIC 1 Car N° de PI Indiqué O/N/T
9 IMPLANT 50 Car Adresse lieu dit etc
10 ALTITUDE 4 Num
11 LONGITUD 16 Num 12 Réel avec 12 décimales
12 LATITUD 16 Num 12 Réel avec 12 décimales
13 P1_STATIQ 5 Num 1 Pression stat1 décimale
14 P1_DYN 5 Num 1 Pression Dyn 1 décimale
15 BEE1_DEBIT 3 Num Débit Gueule bée
16 DYN1_DEBIT 3 Num Débit Dynamique
17 DAT1_VERIF 8 Date
18 HEUR1_VERI 8 Car
19 VAN1_ESS 3 Car Vanne de pied
20 PUR1_ESS 3 Car Purge fonctionne
21 TVX1 50 Car Travaux entrepris
22 P2_STATIQ 5 Num 1 idem 1
23 P2_DYN 5 Num 1
24 BEE2_DEBIT 3 Num
25 DYN2_DEBIT 3 Num
26 DAT2_VERIF 8 Date
27 HEUR2_VERI 8 Car
28 VAN2_ESS 3 Car
29 PUR2_ESS 3 Car
30 TVX2 50 Car
31 P3_STATIQ 5 Num 1 idem 1
32 P3_DYN 5 Num 1
33 BEE3_DEBIT 3 Num
34 DYN3_DEBIT 3 Num
35 DAT3_VERIF 8 Date
36 HEUR3_VERI 8 Car
37 VAN3_ESS 3 Car
38 PUR3_ESS 3 Car
39 TVX3 50 Car
On remarquera 3 zones identiques que l'on décalera par copie au fil des essais, pour garder les 3 dernières valeurs. La partie de tête restera bien naturellement stable.
Les informations complémentaires sont les suivantes :
Outre la marque, le Type précisera le diamètre.
Il peut y avoir des modèles "chocs" qui cassent sans "geyser", des modèles plus "longs". Le coffre peut exister Oui ou Non et être en RESine ou en ALUminium. NUM_INDIC signifie que le N° a été appliqué en peinture sur le PI.
La pression peut être réglée à 1 bar et le débit mesuré ainsi (Débit dynamique) ou au contraire le débit calé à 60M3/h et la pression mesurée (pression dynamique). L'heure a une grande importance à cause des débits d'utilisation et des heures de pompage. Il y a les essais d'étanchéité de la vanne de pied et le contrôle de la bonne vidange (PURn_ESS) puis les travaux à réaliser en TVXn
4.8 La DAO
Le dessin assisté sur ordinateur avec AUTOCAD LT (light) a été mis en place et les fichiers d'échange en *.DWG avec les entreprises remplissent parfaitement leur mission de pré introduction dans les plans généraux, avec une reprise manuelle limitée des d'éléments.
Cette opération lancée pour les quelques dizaines de communes a cependant beaucoup traîné à cause des différences entre cotation automatique et valeurs réelles développées sur les anciens plans (voire en l'absence totale de plans ou cotes jamais mesurées). Cela a nécessité des déplacements nombreux sur le terrain, pour vérifications et mesures effectives.
Ce point oblige donc de réaliser des cotations manuelles de la position des éléments par mesure de sécurité.
On notera également l'inconvénient mineur de la nécessaire évolution des révisions de logiciel de DAO, car les entreprises sont en général avec les dernières Releases. Donc il y a un petit coût d'évolution attaché…
On remarquera qu'à la DAO est aussi attachée quelques tables de la position GPS précise d'ouvrages réseau tels que les ventouses et les vidanges situées au milieu des patures et des champs. Les boîtes à boue ou filtres réseau sont aussi renseignés, car ces équipements doivent faire l'objet de vérification ou d'entretiens réguliers.
(Ce repérage GPS permet d'éventuelles interventions Urgentes de nuit (ou en cas de neige mais c'est plus rare))
5 Conclusions sur cette informatique
Celle-ci était à ce niveau avec l'avènement d'Internet à grande échelle, notamment pour la facturation comptabilité qui devrait maintenant se traiter avec des releases téléchargeables, voire des programmes en accès direct par Internet. Cela n'est cependant pas possible dans toute la France, car certaines zones n'étaient pas correctement desservies par l'ADSL. (Pas plus d'ailleurs que pour les relais de téléphonie mobile ...!)
Ceci étant, cela a été un frein important notamment pour la télégestion. Le coeur des informations techniques est cependant bien ciblé sur ACCESS, et je pense que les nouvelles versions, voire les versions "OPEN" permettront des liens intéressants au niveau des images.
Cette structure technique reste totalement ouverte et permet ainsi tous choix de continuations ou de basculements vers des logiciels dédiés, mais toujours très chers…!
Il n'est pas possible de tout décrire et tout expliquer, mais il faut savoir que cette structure générale a donné entière satisfaction et permis une substantielle économie de temps jusqu'au début 2006. En effet dans ces établissements publics, le plus difficile est de retrouver les éléments d'un problème.
Il n'est en effet pas possible de faire quelques "pirouettes" pour "oublier "quelque valeur impossible à faire correspondre.
Tout doit "coller" contrairement au secteur privé où on ne va pas "user le soleil" pour retrouver une erreur de quelques centimes pour se faire plaisir.
Cela reste également vrai au niveau des assemblées où quelques élus adorent vous mettre en défaut sur des éléments. Par exemple si l'on parle de 508 poteaux d'incendie, c'est pour moi parfaitement identique à 510. Mais pour quelques "pinailleurs" c'est différent !
En réalité la "pinaille" a surtout lieu sur la masse salariale et les absences...
Les informations seront donc ainsi plus solides et précises.
Dans ces conditions, avoir tous les éléments sous la main est vital pour le gain de temps, et la précision et c'est ainsi que cette partie technique présente tout son intérêt. Intérêt aussi à avoir un PC portable pour la présentation (300 ou 400 € pour un notebook)
Voilà pour l'essentiel de cette présentation qui devrait permettre de donner des idées aux petites structures, mais peut-être aussi aux grandes villes qui n'ont pas toujours de tels outils au niveau technique.
Alors bon courage et surtout bonnes sauvegardes, et préférez la séparation des tables et de leur logiciel d'exploitation.
Il n'est pas nécessaire de sauvegarder ACCESS, car il est commercialisé. Vos données ne le sont pas et c'est cela le plus dangereux !
6 ANNEXES
6.1 ANNEXE 1
Règles de rédaction des bases de données
NOMS DE SOCIETES
- PAS de SA, SARL, CIE, STE ou SOCIETE (surtout pas en tête !)
- PAS de tirets, points, virgules, points-virgules, deux-points, slash, et parenthèses.
- NOM complet en MAJUSCULES
- PAS de MAJUSCULES Accentuées
- Nom le plus significatif en tête (ex : WIMMER SOCIETE NOUVELLE)
- Si plusieurs Sociétés mettre le NOM DE VILLE à la suite (troncature possible).
- Si Plusieurs entités dans une même ville ajouter en plus le nom d'unité
(ex : CLEMESSY MULHOUSE C2)
- Le Nom officiel est de préférence celui des pages blanches ou jaunes.
NOMS DES RESPONSABLES
- PAS de tirets, points, virgules, points-virgules, deux-points, slash, et parenthèses.
- NOM en MAJUSCULES non accentuées
- NOM toujours en tête suivi par le Prénom (GILBERT Pierre)
- Prénom 1ère lettre Majuscules les autres minuscules (Ex : Paul)
- Doubles Prénoms 1 ère lettre de chaque prénom en majuscules, les autres
en minuscules sans tirets (Ex Jean Paul)
- Si initiale(s) seule(s) connue(s) Majuscules sans point. (ex : PARIZOT JM)
ZONES ADRESSES
- Aucune signe de ponctuation dans cette zone mais un espace après le numéro de rue
- "Casse" indifférente mais habitude des majuscules 1 ère lettre : 12 Rue des Tropiques
VILLE
- Majuscules non accentuées recommandées (BRIANCON au lieu de BRIANÇON)
- Pas de tirets mais des espaces si noms composés (PERROS GUIREC)
CODE POSTAL (difficile à respecter pour raison d'acheminement postal)
- Éviter les CEDEX après le nom de la ville
- Éviter les codes postaux avec dernier chiffre différent de Zéro.
- Étranger 99999
(Ces 2 premières règles permettent de trier réellement sur la Ville)
AUTRES CHAMPS (et noms de fichiers)
- Éviter les espaces dans les noms génériques. Préférer le "_" (caractère "underscore" ou souligné) pour lier les mots : (ex : CODE_PRODUIT). Éviter également les apostrophes et guillemets, sauf si le nom y est fortement attaché (L'EST REPUBLICAIN, ou "Au Village")
REGLES SPECIFIQUES DE RELATIONS AVEC LA FONCTION PUBLIQUE
REGLES GENERALES
- La "Paresse" la plus excessive est souvent utile car elle limite les erreurs de frappe et permet d'être plus rapide (Il faut s'arrêter là où le code n'est plus du tout représentatif (Ex : AB pour Abonné, préférer ABO).
- Faire tout pour que le code soit prononçable. (ABO pour abonné au lieu de ABE)
- Utiliser toujours une lettre en tête de tout nom (et non pas un chiffre K245 est correct).
- Supprimer tous les signes cités précédemment.
- Un nom ne commence JAMAIS par un ESPACE, donc toujours par une lettre !
INSTANCES INTERNES d'une COMMUNE
- Le nom de la Commune doit figurer en tête et suivi du libellé de l'objet communal
(Ex : VICHY MAIRIE ou FOUGERES SALLE POLYVALENTE)
CIVILITES
- Les civilités reconnues sont : Madame, Mademoiselle, Monsieur, Monsieur le Trésorier Payeur Général, les grades d'officiers et sous officiers (Colonel DUPONT ou Monsieur le Commandant de Gendarmerie, Son Excellence, Maître... )
Dans l'utilisation restreinte j'avais pris la liberté d'abréviations courtes qui étaient les suivantes :
Monsieur Mr
Madame Me
Mademoiselle Ml
Cependant aucune de celles-ci ne sont officielles voire considérées comme une faute (Mr).
Il faut cependant admettre qu'une abréviation doit REDUIRE la longueur d'une écriture et que l'abréviation de Comtesse en "Ctesse" ne sert pas à grand'chose.
A mon sens il faut traiter les cas les plus habituels en limitant à 4 caractères, ce qui semblerait suffisant sauf pour les "Mesdemoiselles" que je mettrais volontiers à Mles au lieu de Mlles. Cela reste à votre seule discrétion cependant…
Pour plus d'informations voir les quelques sites ci-dessous pour se faire une opinion (remarquer que l'on ne dit pas mon sous-lieutenant mais mon lieutenant, encore fallait-il avoir fait son Service Militaire ! )
http://www.culture-generale.fr/expressions/36-utilisation-et-ecriture-des-titres-de-civilite
http://pagesperso-orange.fr/damien.jullemier/typ/typ-civilites.htm
BANQUES
- Mettre les abréviations les plus représentatives (et dresser une liste au besoin pour les échanges) suivies du nom de la ville et au besoin d'un code d'établissement
(CA NANCY DOM, pour Crédit agricole, agence Nancy Rue des Dominicains)
- SG Société Générale,
Dans ce cas ne pas utiliser CAL qui est beaucoup moins représentatif. Ceci devient l'inverse pour BPFC qui est plus connu sous ce diminutif (Banque Populaire de Franche Comté).
CA LILLE, BPHR COLMAR, BPFC DOLE, CIAL NANCY...
CAS PARTICULIERS
- OPHLM deviendra OFFICE HLM
- PTT deviendra LA POSTE (éventuellement avec la ville en tête)
- G.A.E.C. deviendra GAEC
- (à compléter par des échanges réguliers entre administrations).
COMMENT SE CONTROLER
En triant chaque zone avec des polices de caractères à pas fixe (Courrier New ou genre Line Printer…). En général toute aberration d'alignement est une erreur dans les règles et se remarque immédiatement. Se rappeler que L'ORDRE DE TRI est le suivant :
Espace ! " # $ % & ' ( ) * + , _ . / 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 : ; < = > ? @A...Z [ \ ] ^ _` a...z
{|}~¦
RAISONS DE CES REGLES
Permettre le regroupement correct des données dans les bases de données (relationnelles) et en échanges inter-services (secrétariat, technique, trésorerie…)
L'application progressive de ces règles fera gagner du temps à tous et permettra de garder un peu de puissance informatique utilisée précédemment pour les corrélations. C'est un gain d'argent, mais aussi une meilleure sérénité. Il faudra pour chacun accepter les remarques et ne pas les considérer comme attaque mais aide pour "débroussailler" la jungle des données.
Cette plate-forme de règles a été élaborée entre le Syndicat et la Trésorerie de "XXX". Le Service Informatique d'un Conseil Général a confirmé le bon esprit de ces règles.
6.2 ANNEXE 2
CODES (Mode d'emploi)
(TOUT EN MAJUSCULES)
1/ UTILITE
La codification permettra de comprendre et de mieux gérer. Elle permettra de corriger les points faibles techniques d'un Syndicat.
La codification permettra aussi de pouvoir répondre à n'importe quelle question avec une bonne précision, en un temps très court et sans aucune recherche manuelle. (Démarche ISO 9000 traçabilité)
Cette codification permet la "grande intégration" entre : la facturation, les devis mémoire, la maintenance technique et le bureau d'études par le biais de la DAO, mais aussi les recherches en cas de litiges.
La localisation de ces matériels pourra être rensignée par GPS et représentée en DAO par la suite.
2/ INITIALES des Personnels (Prénom suivi du NOM et cumulables en séries séparés par /)
YU, GH, JD, LO, FXB, etc (chacun suivi de "/" y compris le dernier : Yan ULRICH=YU/)
3/ CODES des COMMUNES
Ces codes sont limités à 3 caractères (majuscules) pour des questions "d'informatique" et d'homogénéité.
Ces codes font suite aux initiales et seront suivis du signe "_". C'est le lieu d'un travail.
Les codes à communes multiples sont acceptés : YU/FXB/NCY_LUN_
4/ CODES d'ACTIVITE ou de TRAVAIL
Ces codes représentent un travail réel physique ou administratif. Il suit le code de commune
Un caractère "_" suit le code activité si il y a un matériel mis en oeuvre. De préférence, une seule activité par rapport, mais les codes multiples sont acceptés pour une précision complémentaire.
Exemple : FACTABO (Facturation sans matériel) COURES_CRERES_FT150
5/ CODES des MATERIELS
La longueur maxi est de 10 caractères (majuscules). Une activité n'a pas toujours de matériels associé
Ces codes permettent d'identifier des éléments physiques, qu'ils soient éléments finaux d'appartenance au Syndicat ou éléments d'appoint pour mettre en oeuvre d'autres matériels. (HYDROE, VEHPERM),
Un matériel est constitué de son nom de code suivi directement de son code de précision (éventuellement) et de son numéro de type si nécessaire (s'il y en a plusieurs) mais ce dernier séparé par un souligné.
Les autres valeurs coordonnées et tarage seront également séparées par des soulignés (pour DAO seulement)
La désignation complète d'un matériel est ainsi possible : CODE MATERIEL [PRECISION] [_N° ds le type]
La désignation d'un matériel localisé comporte le code de commune en tête. (LUN_HYDROE, "_" optionnel)
Les codes multiples sont acceptés.
Exemples de matériels :
TRACTO, FT100, POMPES_01, PEHD32_CUIVRE18
6/ RÈGLES DE GROUPEMENT DES CODES
Un groupement de codes est constitué de codes élémentaires en caractères MAJUSCULES liés par le signe "_".
Un code ou un groupement de codes ne peut pas contenir d'espaces.
(La longueur des codes ainsi composés est variable).
Les noms de tous les codes élémentaires sont uniques et personne ne peut les créer sans risques d'ambiguïté. (C'est au responsable de la faire)
Si nécessaires des ajustements et compléments apparaîtront ultérieurement.
Les "crochets" [ ] indiquent des éléments optionnels (possibles) précisant ces codes.
Exemple : VH/POL_REPRES_FT125 indique une réparation sur fonte de 125 à la commune POL… par Victor.
Sont proscrites les fiches d'interventions multi-abonnés ou multi branchements sur une même fiche.
Utiliser également les fiches simplifiées pour les "petites choses" (consultations DICT, achats, déplacements, espaces verts…).
Rappel des noms propres correctement orthographiés et en MAJUSCULES, suivi du Prénom : ex : PIERRE Michel
RESUMÉ des COMBINAISONS de CODES
Ces combinaisons de codes doivent être exprimées dans l'ordre, et il est important de respecter la syntaxe.
CODE INITIALES (3 caractères maxi)
YU, GH, JD, LO, FXB (suivi de /)
ENT (pour entreprise), ALL (tous personnels)
CODE COMMUNE (3 ou 4 caractères maxi, voir liste des communes)
NCY, NVM, LUN, NOU,MEL..(Suivi de _)
CODE d'ACTIVITE[_] (voir liste des activités)
REPBRAN, REPLOC, (suivi éventuellement de _)
[CODE de MATERIEL]
[COMPLEMENT] (Totalement accolé)
Remarquez, qu'initiales, commune et activité sont obligatoires. Le code de matériel peut être inexistant.
NOTA : VEILLEZ à séparer ces différents groupes de codes, par des "_"
Exemples :
Nettoyage par Régis UNCONNU, des Filtres à sable à la commune PARxxx
RU/PAR_NETFILTR_FILTRESA (Codes complets)
Le nettoyage par Jean Michel BAGHERA, à NOU, des filtres à air d'une débroussailleuse serait :
JMB/NOU_GRAISSA_DEBROUS1
La participation de Daniel DUCOMMUN à la liaison BORxx BOUzzzz serait :
DD/BOR_BOU_CRERES_FT200
La réparation par Paul LOUIS d'un roulement Moteur de 132 KW de la pompe de surface N°2 dans la commune MULxxx serait :
PL/MUL_REPMAT_MOTEUR132_POMPE_02 (ou plus simplement ci-dessous)
PL/MUL_REPMAT_POMPE_02
Table des codes d'Activités
ACTIVITES TECHNIQUES
110 Réparation Réseau REPRES
112 Création / Renforcement réseau CRERES
114 Déplacement canalisation DEPLCANA
116 Réparation Matériel Sites et réseaux REPMAT
118 Coupure réseau (à partir de DN50) COURES
120 Réparation Branchement REPBRAN
125 Création Branchement sans compteur CREBRAN
126 Création branchement AVEC compteur CREBRANCO
127 Résiliation Branchement RESIBRAN
128 Mise en eau MISEAU
130 Recherche et Détection des Fuites RECHFUIT
135 Piquetage / repérages PIQUETA
137 Prélèvements, suivi chlore résiduel PRELEV
140 Entretien Espaces Verts et Locaux ENTRE
143 Nettoyage filtres et réservoirs NETFILTR
145 Entretien / Tous Graissages machines GRAISSA
147 Réparation des locaux REPLOC
150 Relevé des compteurs RELEV
155 Echange Compteurs (Av. archivage physique) ECHCOMPT
156 Pose compteur POSCOMPT
160 Surveillance chantiers SURVCHA
162 Déplacements DEPL
164 Relevage Bouche à clé RELBAC
166 Réparation chaussées, abords, remise état REPCHAU
170 Mise à jour plans réseaux et fiches, DAO PLANS
180 Régulation process eau REGUL
185 Electricité, automatismes et capteurs ELEC
186 Purges, chloration PURGE
187 Qualité de l'eau QUALIDO (*)
188 Contrôle Débit Pression DEBPRES
190 Réparations diverses REPDIV
195 Achats Techniques ACHATECH
199 Divers et non répertorié DIVTECH
ACTIVITES ADMINISTRATIVES
210 Facturation Abonnés FACTABO
215 Devis Mémoires (création/rédaction) DEVMEM
220 Gestion et Trésorerie GEST
230 Secrétariat, convocations et téléphone SECRETA
235 Enregistrement Courrier à l'arrivée ENRCOUR
238 Rédaction Courrier REDCOUR
240 Relations Perception / Conseil Général RELA
250 Règlement Tous litiges, abonnés, assurances LITIG
260 Informatique et Process R & D INFO
270 Management MANAGE
280 Réunions REUNION
299 Divers et non identifié DIVADMIN
DIVERS
910 Formation FORMA
920 Maladie MALAD
925 Accident ACCI
930 Absences ABS
940 Congés CPL CONGE
941 Congés RTT
942 Congés Récup Heures Supplémentaires HSUP
(*) Pour cette activité qui est seulement un constat, la DDASS demande de qualifier plus précisment le problème. Voir les codes en table ci-après.
Sur l'image à droite, le devis mémoire résultant des paramètres évoqués lors des paragraphes précédents.
Sur l'image ci dessous modèle de la fiche de travail recto/verso.
>
Voir les liens pour le téléchargement dans l'article.
>
>
Table des Codes de matériels
ABELIER Antibélier ou ballon surpresseur
AMI Amiante Ciment Æ
ANTENNE Antenne Émission Réception
ARMELEC Armoires électriques
AVIS Avis de coupure réseau
BAC Bouche à clé tous modèles PAVA ou CHA
BACHE Bâche
BAG Bague de scellés
BATIMENT Bâtiment et stations
BATTERIE Batteries Plomb ou Cd Ni Tension volts
BCHLORE Bouteille de chlore A ou B Nvle bouteille active
BE Bride à emmanchement Æ
BETON Mise en œuvre et/ou fabrication Qté
BOITBOUE Boite à boue Æ
BOUCHON Bouchon pour Branchement Æ
BU Bout uni Æ
BYPASS By pass Æ
CABENNE Camion benne G(ros) P(etit)
CHAMBR Chambre de vannage
CHARGE Chargeur de batterie Tension volts
CHLORO Chloromètre
CIMENT Ciment
CLAPETE Clapet EXTERNE (douille) Æ
CLAPETC Clapet dans compteur Æ
CLOTURE Toutes les clôtures et pont
COFFRE Coffre de PI G ou D
COLPRIS Collier de Prise en charge Ft Æ
COLPRISP Collier de Prise en charge PVC Æ
COMPREF Compresseur fixe Litres Débit
COMPREM Compresseur mobile (bleu) Litres Débit
COMPTE Compteur méca ou électronique Æ
COMPTR Compteur avec RADIO N° Radio
COMPTX Compteur coaxial Æ
CON Cône Réduction de diamètre Æ
CONBB Cône réduction Bride Bride Æ
COREL Corrélateur
COUD Coude Fonte Æ
COUDBB Coude Bride bride Æ
COURRIER Lettre ou courrier à remettre ou poster
CREPINE Crépine de puits ou pompes Æ
CUIVRE Cuivre en tubes Æ
CUVEF Cuve à Fioul Litres
DEBITMCL Débitmètre de chlore
DEBITMPI Débitmètre pour PI
DEBITMUS Débimètre à ultra-sons N°
DEBROUS Débroussailleuse
DEFERRIS Déferriseur
DICT Déclaration intention de travaux N°
DISCONN Disconnecteur Æ
DRAIN Drain standard Æ
ECHEL Toutes échelles Hauteur
ENREGH Enregistreur type HOBO ou (HOBO)
ENREGR Enregistreur Jules RICHARD
ENROBE Enrobé à froid et chaud Quantité
FAUXPB Faux problème interprétation ou erreurs
FENETRE Toutes les Fenêtres Dimensions
FILDETECT Fil détecteur
FILTRESA Filtre à sable Volume M3
FIX Support fixation compteur
FT Tuyau Ft Æ
FUSE Fusible Valeur en A
GAIN Gaine plastique 63 ou 90 Æ
GAZ Bouteille de gaz oxy,but,ace?pro
GIBAU Manchon GIBAULT Æ
GPS GPS Garmin Nbr de POINTS
GRIL Grillage avertisseur
GROUPEL Groupe électrogène Puissance Tri/
HYDROE Hydroéjecteur de chlore
JOINT Joint d'étanchéité (tous)
MAEC Regard Hors gel
MAJOR Major stop fonte Æ
MAJORP Major stop PVC Æ
MANCHET25 Manchette de 25 de large Æ
MANCHET50 Manchette de 50 de large Æ
MANCHREP Manchon de réparation Æ
MANO Manomètre 12bars
MATDIV Matériels divers détecteur, metrix…
MINIPEL Minipelle
MOBILIER Tous les mobiliers bureau et techn
MOTEUR Moteur élec et thermique Puissance
P Tuyau PVC Æ
Pb- Réfection complète Bt plomb
Pb+ Réparation partielle Bt Plomb
PEHD Tuyau PEHD Æ
PI Poteau Incendie Æ
PIEZO Piézomètres Nom et N°
PILON Pilonneuses
PLAN Plans En tant qu'Outil
PLAQ Plaque Pleine Æ
PLAQUEV Plaque vibrante pour enrobé
PNEUS Tous les pneus
POIRE Poire de niveau ou US
POMPES Pompe de surface et chantier
POMPEX Pompe exhaure
PORTE Toutes les portes
PRELEV Point de prélèvement nom
PRESSO Pressostat
PUITS Puits Nom
PURGE Vanne de purge Æ
RACCORD Raccord et manchons tous tuyaux Æ
RADIAT Radiateur élec ou engins Puissance
RADIO Radio véhicule ou réservoir Fréquence
REDUCP Réducteur de pression Æ x y z m
REGARD Regard béton 80x80
REMORQ Remorques Charge max
RESERV Réservoir 1000 m3>=(1 Cuve) Capacité
ROBFLO Robinet à flotteur Æ
ROBINET Tous robinets d'arrêt Æ
SANSCLA Sans clapet anti-retour
SERIEE Alarmes à synthèse vocale
SERRURE Serrures diverses et bâtiments
SFT Sans fiche travail (Dir + secrétariat)
SURPRES Surpresseur Æ 1.3KW
TAMP1000 Tampon de 1000
TAMP800 Tampon de 800
TAMPCR80 Tampon creux de 800
TAMPTROT Tampon trottoir Æ
TBOX Automates
TE Té fonte ou plastique Æ
TEBB Té Bride bride Æ
TEISI Té ISIFLO Æ
TETE Tête de robinet RAV Æ
TERRE Terre M3
TONDEUSE Tondeuse et tracteur
TRACTO Tracto pelle JCB
TRIFLEX Tuyau fonte centriflex Æ
TRONCON Tronçonneuse thermique
TURBINE Turbine
TUYAUC Tuyau Ciment ou fibrociment Æ
VAN Vanne tout type Droite SFH Æ
VANINV Vanne inversée SFAH Æ
VEHxxx Véhicule xxx
VEHDIR Véhicule directeur N°
VEHFOURG Véhicule fourgon atelier N°
VEHGARD Véhicule gardien N°
VEHPERM Véhicule de permanence N°
VEHRELEV Véhicule Releveur N°
VEHVERT Véhicule espaces verts N°
VENT Ventouse Æ
VENTMINI Ventouse Mini 20x27 avec Rob arrêt
??? Impossible à déchiffrer
TABLEAU des CODES "matériel"
(Affectant la qualité de l'eau (Pour l'activité "QUALIDO")
AIR Air dissous (couleur blanche avec dissipation qq minutes)
ANAL Problème qualité suite analyse SYND ou DDASS ou particulier
CHLO Odeur de CHLOre plus importante qu'à la normale
COUL COULeur dominante (avec ou sans transparence)
DEBI Modification du débit en moins
EPID EPIDémie (Plusieurs personnes atteintes MEDI en chaîne)
GOUT Goût spécifique
INFO Appel abonné pour signaler qq chose sur ouvrages ( INFOrmation)
MEDI Problème MEDIcal lié à l'eau ( gastro, boutons, autres symptômes)
ODEG Odeur type EGouts
ODHY Odeur Hydrocarbures ( fuel, essence)
ODCH Odeur de produits CHimiques
PART PARTicules en suspensions visibles à l'œil nu
PRES Modification de la pression + ou - irrégulière
TEMP TEMPérature élevée
TURB TURBidité (Manque de transparence avec MES)
VISC VISCosité anormale (huileuse ou autre)
VOL Suite à un vol d'eau à PI (+souvent COUL)
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